Manger simple, manger sain :

Nous sommes entourés de producteurs et artisans passionnés qui offrent de savoureux produits nés de leur expérience et de leur travail. La vie moderne actuelle fait que le temps nous manque pour rencontrer ces personnes et surtout pour profiter de leurs trésors.

Terre à Délices est née pour faciliter l’accès à ces produits sains, tout en se rapprochant le plus possible des prix pratiqués par les producteurs. C’est le partage de produits simples, cultivés ou transformés de manière respectueuse de l’homme et de l’environnement.

Acheter responsable (origine paysanne locale) :

Le choix de la filière courte présente de multiples avantages pour tous : le contact direct  offre au producteur une rémunération juste et la valorisation de ses produits et apporte la transparence de l’information, supprime les intermédiaires donc les coûts, les manutentions et les traitements inutiles, garantit l’origine des produits et en certifie la qualité et la fraîcheur pour nous, consommateurs.

De là, nos actes d’achats résultent de la consommation responsable (consom’action) dont chaque euro ne se limite plus à sa simple valeur monétaire. Nous choisissons où va notre argent, en consommant de façon citoyenne et non plus de manière consumériste.

 

 

« Nous n’héritons pas de la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants. »

Léopold Sédar Senghor (1906-2001), écrivain et premier président du Sénégal.

 

 

Respecter les saisons :

Tout simplement pour bénéficier de toutes les qualités d'un produit frais : sa saveur, sa texture et ses nutriments.

C’est le moyen le plus simple et le plus naturel d’être certain d’apporter les nutriments nécessaires à notre organisme, au moment adéquat. D'autre part, c’est à maturité que les fruits et légumes offrent le plus de saveurs et nutriments. Quelle texture ont les tomates au mois de janvier ? Quel goût ont les fraises en début de printemps ? Existe t-il une réelle demande de ces produits toute l’année ?

L'impact de ce choix pour l'environnement et le porte-monnaie n'est pas neutre : en évitant les cultures intensives et sous serre (gourmandes en énergie et phyto sanitaires) nous réduisons le transport (un produit importé hors saison consomme 10 à 20 fois plus de pétrole), nous supprimons les stockages en chambres froides ainsi que l’utilisation de produits phyto sanitaires qui altèrent les produits frais.

Ne pas oublier que le choix d'éliminer ces derniers facteurs qui ont un coût économique, se répercute sur le prix de vente final du produit.

Mode de production, quelle importance ?

On ne le dira jamais assez : non seulement un produit issu de culture intensive (qui appauvrit la terre) n’a pas les mêmes vertus (saveurs, apports nutritionnels) qu’un produit cultivé dans son environnement naturel et ramassé à maturité, mais il est également manipulé, stocké, transporté inutilement et en plus très souvent irradié (exposé à des rayonnements ionisants afin d’en éliminer les micro organismes, les insectes, d’en tuer le pouvoir germinatif et d’en prolonger la durée de conservation) et il peut contenir des produits de synthèse en quantités ahurissantes (27 traitements par an en moyenne pour les pommes, 2/3 des fraises et 1/3 des poivrons analysés contiennent des résidus de pesticides dépassant les normes autorisées, salades et céleri branche font partie des légumes les plus traités chimiquement…).

Il n’est pas nécessaire de se diriger vers un label bio systématiquement (le producteur doit supporter le coût du label et des contrôles) on peut choisir des produits de productions locales empruntant les alternatives de l’agriculture bio (nommée ancienne ou durable) : fertilisation à base d'engrais verts ou de plantes spécifiques, rotation des cultures, incorporation de matières organiques...

 

 

« La société de consommation a privilégié l’avoir au détriment de l’être »

Jacques Delors, économiste et homme politique français.

 
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